CHRISTIAN BOURGOIS cahier de croquis du seigneur des anneaux

33 EUR
Alan Lee raconte ici, en mots et en images, comment il a réalisé les magnifiques aquarelles de l'édition illustrée (dite du Centenaire) du Seigneur des Anneaux. Ces images se sont révélées si puissantes et évocatrices qu'elles ont finalement façonné le visuel des trois films de Peter Jackson et ont valu un Oscar à Alan Lee.Le Cahier de croquis du Seigneur des Anneaux présente plus de 150 esquisses et croquis de travail, et montre comment ce projet est passé de l'idée à sa réalisation artistique. Il contient également un choix d'aquarelles en pleine page avec de nombreux dessins inédits réalisés pour le film ou spécialement pour ce livre.Ce Cahier donne un aperçu fascinant de l'imaginaire d'un homme qui a représenté les visions de Tolkien, d'abord sur une page puis en trois dimensions au cinéma. Il intéressera les nombreux amateurs d'Alan Lee tout comme les artistes en herbe qui veulent découvrir les secrets de l'illustration.

CHRISTIAN BOURGOIS Vivre

25 EUR
Effrontée, déterminée, passionnée, inventive et transgressive: telle est la jeunesse intemporelle qui se dessine en Europe de l'Est d'avant-guerre, juste avant d'être tragiquement brisée par la Shoah.Vivre nous révèle les confidences de six adolescents, qui ont écrit leurs autobiographies pour un concours d'écriture en yiddish organisé dans les années trente. Perdues dans le tumulte de l'Histoire et récemment retrouvées dans le sous[1]sol d'une église à Vilnius, ces archives ont ému l'auteur Ken Krimstein, qui en a réalisé une adaptation graphique.Ces témoignages du passé s'animent sous la plume tendre et le trait vif de l'auteur, qui compose ainsi un remarquable travail de mémoire et un hommage vibrant à la jeunesse du Yiddishland. Ces récits drôles, poignants et spontanés recomposent la richesse et la diversité d'un monde anéanti par la barbarie nazie.

MOUTONS ELECTRIQUES Lee Winters, shérif de l'étrange

24 EUR
Initiée en 2017 avec Tout au milieu du monde, la «Bibliothèque dessinée», notre collection de romans graphiques, aujourd'hui forte de plus d'une dizaine de titres, a fait peau neuve en 2022 en adoptant un nouveau format (similaire à ceux des BD), plus grand, sous couverture cartonnée, avec dos rond et vernis gonflant.Proposant habituellement une collaboration entre écrivain et graphiste/dessinateur, c'est cette fois une texte de Lon T. Williams, auteur de pulps dans les années 1950, qui est mis en images par le dessinateur Lasth. Genre très prisé en bande-dessinée, il nous paraît opportun d'ajouter le western à notre catalogue en réimaginant ce texte de pure littérature populaire sous format graphique pour donner vie à ces aventures fantastiques. Loin d'un simple hommage aux pulps d'époque, Lasth a réfléchi à un decoupage très nerveux, inspiré à la fois du cinéma et surtout du manga, pour faire de ce volume un ouvrage tout à fait dans son temps.Cette collaboration s'inscrit dans la continuité de notre politique de "légitimité" de cette collection vis-à-vis des rayons BD, à savoir faire appel à de véritables bédéastes, reconnus ou montants : viendront ensuite David De Thuin, Laureline Mattiussi, François Ayrolles, Caro et Giuseppe Liotti.La couverture est mise en page de manière à être identifiée du premier coup d'oeil comme étant du roman graphique : elle rappelle par exemple celles de l'univers Hellboy chez Delcourt.

CASTERMAN Le dahlia noir

20 EUR
Los Angeles Police Department, 1946. Dwight « Bucky » Bleichert fête son premier jour aux Mandats, le prestigieux service où rêvent de travailler la plupart des flics de la Cité des Anges. Il fera équipe avec Leland « Lee » Blanchard, un collègue qui comme lui a été boxeur, et qu’il a déjà affronté sur un ring. Malgré les nondits entre eux, les deux hommes sympathisent. Ils ne savent pas encore qu’ils vont enquêter ensemble sur un crime qui va à la fois les rapprocher et bouleverser leurs existences : la mort atroce d’une jeune femme, Elizabeth « Betty » Short, surnommée le Dahlia Noir, dont on retrouve le corps mutilé dans un terrain vague, en janvier 1947…Ainsi débute l’un des plus fameux romans noirs de la littérature américaine des dernières décennies, à la fois polar haletant et portrait saisissant de Los Angeles, dans toute sa fascination trouble : Le Dahlia noir, de James Elroy. C’est le plus francophile des dessinateurs américains, Miles Hyman, déjà auteur avec Matz, dans la même collection, d’une adaptation de Nuit de fureur de Jim Thompson, qui en signe la mise en images, très inspiré par la ville de Los Angeles où il a personnellement vécu plusieurs années.