MARTIN DE HALLEUX La réparation

19.9 EUR
Un récit intime qui vient réparer les blessures de l’enfance.Dans la collection 25 Images, après La Forêt, conserver l’intensité et la qualité graphique du livre de Thomas Ott n’est pas facile… mais Nina Bunjevac relève le défi et de belle manière !« J’ai plongé mon cœur et mon âme dans ce projet qui est l’histoire la plus personnelle que je n’ai jamais racontée. »Avec La Réparation, Nina Bunjevac poursuit son travail où se mêlent conte, fable et récit autobiographique. Ici, la narratrice plonge dans ses souvenirs et vient réparer, avec ses dessins, de terribles blessures d’enfance.Dans Fatherland, Nina Bunjevac évoquait la radicalité mortifère de son père et la séparation de ses parents. Sa mère la sauvant en retournant en Serbie auprès de sa famille protectrice. Mais, nulle part, Nina Bunjevac ne raconte alors que son enfance sera, là-bas, marquée par des violences intrafamiliales.Avec La Réparation, Nina Bunjevac revient sur cette période de sa vie et ose aujourd’hui non seulement dénoncer ces violences venant de sa mère, mais surtout réconforter cette petite fille qu’elle tire du passé, pour la protéger et ainsi, avec ce livre, réparer ses blessures de l’enfance et se reconstruire.

MARTIN DE HALLEUX Marguerite

22 EUR
Vingt-cinq images pour une histoire sans paroles... Le lundi 12 février 1934, à la suite des émeutes des ligues du 6 février, une gauche unie manifeste contre le danger fasciste. Ce jour-là, annonciateur du Front populaire, un peintre croise le regard d'une femme qu'il suit et dessine dans les mouvements de la ville. Mouffetard, Austerlitz, République, gare de l'Est, Ménilmontant... un malicieux jeu de séduction dans un Paris populaire en ébullition, au tournant de l'histoire.

MARTIN DE HALLEUX Cartes Postales Loustal

26 EUR
Il ne nous reste rien ou si peu d'Henry J. -M. Levet, sinon ces dix courts poèmes de Cartes postales qu'il publia entre ses 26 et 28 ans. Fragments magnifiques de cette existence de météore d'un dandy de Montmartre qui a été vice-consul à Manille et à Las Palmas. Loustal dessine la vie de fiction de ce poète désinvolte à l'âme brûlante, tandis que Frédéric Vitoux nous présente ces dix poèmes qu'une poignée d'amateurs se transmettent depuis plus de cent ans, comme un mot de passe pour se reconnaître entre eux...Un livre, d'images et de poésies, à la nature désinvolte, fantaisiste et rêveuse.

MARTIN DE HALLEUX Vers le sud

19.9 EUR
« J'ai rarement vu un artiste dont les fantasmes hachurés soient aussi évocateurs et troublants. » Emil Ferris Vingt-cinq images pour une histoire sans paroles... Il existe un monde où les arbres sont grands et nombreux, où la neige est belle et dense, où le vent souffle fort et longtemps et où l'on parle aux oiseaux de voyages et de l'au-delà.Landis Blair raconte à la façon d'une fable, les derniers instants ou plutôt le dernier magnifique geste d'un vieil homme qui choisit et organise avec soins les conditions de son départ. Un départ spectaculaire et glorieux, en pleine communion avec le monde et la nature, avec la complicité des oiseaux, ceux qui connaissent mieux que nous tous l'art de voler et les chemins du ciel. « Car finalement, tout va bien. » croit-on entendre à la fin de ce court récit sans paroles. Et l'espoir est bien là.L'esprit d'Edward Gorey n'est toujours pas loin dans cette fable qui parle de la mort et de l'espoir. La nature et les animaux, chers à Gorey également, sont les motifs dans lesquels les hachures à l'encre noire de Landis Blair se déploient sans fin, nous laissant avec une étrange impression addictive, comme si l'on voulait toujours en voir plus et se perdre dans ces images aux milliers de petits traits qui racontent la vibration du monde.

MARTIN DE HALLEUX La forêt

22 EUR
Vingt-cinq images pour une histoire sans paroles... Un jeune garçon s'enfonce au plus profond de la forêt, il se confronte aux grandes terreurs des hommes et fait l'expérience, sans peur, de suivre son propre chemin.

MARTIN DE HALLEUX Simone et moi

29 EUR
Simone et moi, c'est une découverte sur 350 pages d'une introspection rare et précieuse. Un récit d'une sensibilité extrême, témoignage d'une jeunesse d'aujourd'hui souvent désorientée et qui doit vivre coûte que coûte et se construire dans un monde en plein bouleversement. Avec son langage visuel net et sans fioritures, on ne peut s'empêcher d'inscrire son dessin dans la lignée de George Grosz ou d'Otto Dix qui décrivaient la ville et ses habitants sans compassion aucune, « au scalpel ». L'introspection à laquelle elle nous invite rappelle également Mars de son compatriote Fritz Zorn qui écrivait avec la même honnêteté son chemin intérieur. Un roman graphique "grand format", reliure cousue avec deux rabats intérieurs et fer à chaud argenté sur les titres de couverture.

MARTIN DE HALLEUX Roméo et Juliette

19 EUR
Lorenzo Mattotti dessine le moment indicible, dans la tragédie de William Shakespeare, où les deux amants vont passer leur seule et unique nuit ensemble.

MARTIN DE HALLEUX Nachave

19.9 EUR
Vingt-cinq images pour une histoire sans paroles... Nachave, nachav, [na?av] : partir, s'en aller, fuir, décamper, va-t'en, casse-toi, file... Argot manouche, tiré du romani, dérivé de l'indien ancien nas, s'échapper.

MARTIN DE HALLEUX Idée

18.5 EUR
Publiée pour la première fois en 1920, cette oeuvre maîtresse de Frans Masereel raconte en 83 images la vie d'une idée. Cette idée qui prend la forme d'une femme est rebelle et subversive, elle sème sur son chemin zizanie, peur, rejet ou étonnement, mais ne laisse jamais indifférent. Elle ira jusqu'à se reproduire en se jetant entre les cylindres d'une presse d'imprimerie pour répandre un peu plus encore le doute et la liberté au coeur d'une société injuste et violente.« Aujourd'hui, comme il y a cinq cents ans, il suffit de rien d'autre que d'un morceau de bois de poirier, d'un petit couteau... et du génie d'un homme.» Thomas Mann

MARTIN DE HALLEUX 20 ans en mai 1871

19.9 EUR
Sur l'avenue de la Chapelle du cimetière du Père-Lachaise, s'élève l'imposant mausolée d'Adolphe Thiers. Premier président de la IIIe République, il restera comme celui qui, en mai 1871, organisa la sanglante répression des communards, s'attirant pour toujours la haine du peuple de Paris. Aujourd'hui, sur la grille du l'immense tombeau on peut toujours y lire le discret graffiti "Vive la Commune".

CORNELIUS le garçon qui cherchait la peur

18.5 EUR
« Un père avait deux fils. Le premier était réfléchi et intelligent. Le cadet en revanche était soi, incapable de comprendre et d’apprendre ». Ainsi début histoire de celui qui s’en alla chercher la peur ; conte des frères Grimm magistralement réinterprété ici par Giacomo Nanni. C’est en s’engageant sur les chemins de la falaise à la recherche de la peur que l’idiot a rencontré l’amour. Maos en bousculant les conventions, il se heurte aux préjugés des puritains et déclenche la haine d’une communauté prompte à passer de l’enseignement des Évangiles au plaisir du lynchage collectif. Malheur à celui par qui le scandale arrive….Revisitant la grande tradition du mélodrame et des amours impossibles, Giacomo Nanni décortique ce drame familial pour en exposer l’implacable mécanique sociale ; il en tire un manifeste esthétique ébouriffant. Ses constructions géométriques, son utilisation de la répétition et le rythme circulaire qu’il donne à l’histoire transforme ses planches en un théâtre où se révèle tout son art de la mise en scène. Ses personnages rejouent pour nous l’éternelle défaite du fou, le sacrifice des amoureux et la corruption des autorités morales avec un brio qui rend la conclusion plus déchirant que jamais.

CORNELIUS Le vol nocturne

19.5 EUR
Vous ne vous en doutez peut-être pas, mais les sorcières vivent parmi nous.Pour ne pas qu'on les remarque, elles dissimulent leurs écailles sous de longues robes et s'amusent à regarder à travers les maillots de bain des gens lorsqu'elles vont à la plage. Rogée et Martine sont deux d'entres elles. Malicieuses et farfe- lues, elles multiplient les frasques comme pour se défendre d'un monde qui rejette systématiquement la marginalité.Inspirée par la période historique des chasses aux sorcières - dont les condam- nées étaient majoritairement des femmes célibataires isolées - Delphine Panique joue avec le fantasme des rituels qu'on leur attribuait pour construire un univers fantastique qui ne cesse de basculer dans le réel. On voyage ainsi dans une forme narrative ou l'espace et le temps se mélangent pour offrir une multitude de réalités. Sous son rotring délicat et sa plume fleurie, les sorcières prennent vie, finement ciselées en monochrome. Derrière ce trait fin et presque enfantin, se cachent pourtant des thématiques plus sombres comme la cruauté, la solitude ou la différence.Mélangeant dans sa marmite la légèreté, avec un soupçon de grinçant, la naï- veté avec une pointe d'absurde, la poésie avec un zeste d'humour, l'auteure joue avec les codes et les registres pour mieux nous perdre dans sa forêt magique.

CORNELIUS Un père vertueux

30.5 EUR
Un homme avait trois fils : le premier, Bird, avait les yeux noirs d'un oiseau, le second, Twombly, deux longues lances de bois en lieu de bras et le troisième, Horn, dissimulait sous sa capuche rouge un visage recouvert de poils.À la manière du Petit Poucet de Perrault ou de Hansel et Gretel des frères Grimm, le récit s'ouvre sur un abandon. Mais sur cette île déserte, c'est un homme âgé à la barbe blanche qui est abandonné, les mains menottées à une lourde pierre plongée dans la mer.Un Père Vertueux raconte dans un long flashback épique la vie des garçons et de leur père avant qu'ils ne décident de l'abandonner sur une île déserte. La lutte qu'ils doivent mener pour survivre dans une ville hostile, entourés d'adolescents cruels et d'adultes menaçants, les oblige à s'endurcir. Mais le rêve ni l'unité parviendront-ils à les protéger de la malédiction familiale qui les accable.?Peintre des cauchemars, des pulsions inavouées et des troubles de l'adolescence, Ludovic Debeurme signe, avec Trois Fils et Un Père Vertueux, un diptyque troublant et puissamment original. Puisant aux racines de son histoire personnelle et des contes qui ont construit l'humanité, il délivre ici des pages de bande dessinée somptueuses et fascinantes qui le voient évoluer au sommet de son art.

CORNELIUS comment ça se fait

21.5 EUR
Tous les ours ne s'appellent pas Martin. Paul, Fafa, Bart, Mona et les autres ont quitté les forêts pour des appartements entre Bastille et Marais, appris à monter les escaliers et à se brosser les crocs. Encore un peu lourds, les aimables plantigrades ne semblent pas tout à fait revenus de marcher sur deux pattes. Ces ours bohèmes et bien léchés se rencontrent à l'heure où vont boire les fauves qu'ils ne sont plus. Tapas ou italien ? Vin blanc ou vin rouge ? On parle de ciné et d'expos, de Cézanne et de Simenon, des goûts et des couleurs, des hommes et des femmes. Et s'il y avait là le sujet d'une histoire ? Après la manière de faire des livres pour les enfants, Nadja se penche, avec autant de poésie et d'humour, sur la mécanique de la création. Si l'art naît de la vie, c'est lui qui la féconde. Livres, films, tableaux n'existent que pour provoquer le dialogue, alimenter la conversation et déclencher quelque chose qui deviendra peut-être un film, un livre, un tableau. La boucle est bouclée...