MARABULLES Love me please

19.95 EUR
Love Me Please est un biopic consacré à Janis Joplin qui retrace, en respectant la chronologie, les moments forts de son parcours depuis l'enfance, au sortir de la seconde Guerre Mondiale, jusqu'à sa mort abrupte fin 1970.C'est l'une des plus fabuleuses aventures musicales qu'ait produites l'Amérique de la seconde moitié du vingtième siècle. Pourtant elle a duré à peine plus de cinq ans.Comment une très jeune femme complexée, toxicomane et pleine de doutes, est devenue en quelques années une icône planétaire de la musique rock ? De l'ombre à la lumière en quatre disques seulement (dont le dernier publié un mois et demi après sa mort tragique), à la faveur d'un mouvement d'émancipation lui aussi planétaire, qui allait consacrer pour longtemps les idéaux et les modes de vie alternatifs issu de la contre-culture et de la génération du flower power. Janis, le vilain petit canard a laissé libre cours à ses impulsions. Nourrie de la soif de liberté de la Beat Generation et de l'aspiration à l'émancipation qui s'exprime au sein de la jeunesse américaine du début des années 60, Janis Joplin part pour San Francisco, alors épicentre de l'innovation culturelle. Elle va y vivre une liberté dont elle aurait à peine osé rêver, s'abandonnant à tous les élans qui la traversent, dépassant sans hésiter tous les tabous de l'époque : bisexualité, alcool, drogues. Non seulement avec délices, mais avec le goût de l'excès auquel l'incite naturellement son caractère spontané et entier.

MARABULLES Hors la loi - L'histoire vraie du premier Cow Boy transgenre

23.95 EUR
Je n'aimais pas être une fille, je ne me sentais pas fille et je ne ressemblais pas à une fille. Il me semblait impossible de faire de moi une fille. Il m'est donc venu l'idée de devenir un homme.C'est par ces mots que Nell Pickerell se confie au Seattle Times. Vêtu des habits élimés d'un cow-boy, celui qui a abandonné son nom et son genre pour se faire appeler Harry Allen est un sujet de railleries et de défiance. Son casier judiciaire long comme le bras a fait de lui une célébrité locale à la réputation douteuse.Face au journaliste, il se raconte.Harry Allen vient au monde le 11 septembre 1882 sous le nom de Nell Pickerell, une enfant de sexe féminin. Son certificat de décès indique la date du 27 décembre 1922. Une vie courte, mais intense. Quarante années durant lesquelles Harry se distingue autant par son épais casier judiciaire que par la cinquantaine d'articles que lui consacrent les journaux de la région de Seattle. Fascinés par le personnage, les quotidiens le surnomment affectueusement « Harry » ou « notre Nellie». Ces articles m'ont permis de retisser le canevas de son existence, m'efforçant, par une importante documentation, la force de suggestion des non-dits et mon imagination, d'en compléter la trame. J'espère être parvenu à lui rendre hommage. Comme John Ford le fait dire à un de ses protagonistes dans le film L'Homme qui tua Liberty Valance : « Quand la légende surpasse la réalité, imprimez la légende. »Stéphane Tamaillon

BAYOU GALLISOL Un privé à la cambrousse - intégrale tome 2

21 EUR
« Chez Léon, on ne rigole pas tous les jours.Son café à la chaussette, on s'en méfie. On préfère les produits du terroir. On ne rigole pas, et on ne parle pas beaucoup. Sauf pour les grandes occasions :L'ouverture de la chasse, la pêche ou les catastrophes météorologiques. Déjà qu'on me cause guère, depuis que je mélange mes deux métiers, épicier ambulant et détective. c'est carrément la méfiance. » Ce deuxième volume reprend les titres Les Fantômes du garde-barrière, Virage dangereux et Au bout du canal.

PIKA Boire pour fuir ma solitude

16 EUR
Voilà, à force de fuir la réalité en me réfugiant dans l'alcool, j'ai fini par infliger à mon corps des dommages irréversibles. Maintenant privée d'échappatoire, je vais devoir faire face à ma culpabilité et affronter mes propres sentiments. Alors que j'avais décidé d'abandonner l'autobiographie pour me consacrer aux mangas de fiction, vais-je parvenir à trouver des idées, moi qui me servais de la boisson comme carburant pour écrire ? Et si la fiction était pour moi le seul moyen de me confronter à ma réalité ?